Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Cashback
  • Connecte-toi
  • Facebook
  • Google+
  • Crée ton blog

MaybeSomeday-retranscrip

Photo de MaybeSomeday-retranscrip
  • Suivre
  • Envoyer un messageMessage
  • Plus d'actions ▼
  • Offrir un cadeau
  • Bloquer
  • S'abonner à mon blog
“ Vous pouvez me retrouver ici http://j-ai-vaguement-ton-coeur.skyrock.mobi ” - jeudi 12 mai 2016 10:18
1 kiff

Statistiques

  • 1 322 Kiffs
  • 158 Coms

15 honneurs

  • Anniv' 1 an
  • Fans 100
  • Kiffé Koi !
  • Zlataneur
  • Com' 100

28 archives

  • Chapitre 25
  • Chapitre 24
  • Chapitre 23
  • Chapitre 22
  • Chapitre 21

111 fans

  • my-repertory-of-justin-B
  • oceane77fournier
  • kian
  • johnsondornan
  • aider-le-televie--fnrs

33 sources

  • NOTglorious
  • J-ai-vaguement-ton-coeur
  • SIINFUL
  • Attraction-InterditeMA
  • BelieberForAllLife

Partage

  • Tweet
  • Amis 0

Retour au blog de MaybeSomeday-retranscrip

Quinze jours plus tôt




Quinze jours plus tôt






Sydney


   J'ouvre la porte-fenêtre et sors sur mon balcon, contente que le soleil ait déjà plongé derrière l'immeuble d'en face. Du coup, il fait plus frais, un peu comme par une belle journée d'automne. Presque aussitôt, le son de la guitare s'élève à travers le parc et je m'assieds dans le transat. Je dis à Tori de venir faire ses devoirs ici, histoire de ne pas reconnaître que cet instrument est la seule raison qui me pousse à sortir tous les soirs à vingt heures, avec la régularité d'une pendule.


   Voilà des semaines que le type d'en face s'installe sur son balcon pour jouer au moins une heure. Et moi, tous les soirs, je sors l'écouter.
   
   J'ai remarqué que quelques voisins en faisaient autant, mais aucun n'est aussi assidu. Je ne vois pas comment on peut entendre ces chansons sans en tomber aussitôt accro. Bon, pour moi, la musique a toujours été une passion, alors peut-être que je me laisse un peu plus emporter par ses mélodies que la plupart des gens. Je joue du piano depuis toujours ou presque et, bien que je ne l'aie jamais avoué à personne, j'adore composer. Au point que j'ai orienté mes études sur l'enseignement de la musique, il y a deux ans. J'ai l'intention de devenir prof, au lieu de suivre les conseils de mon père qui me voyait plutôt faire du droit.


    – Une vie médiocre est une vie perdue, a-t-il commenté quand je lui ai annoncé que je changeais de spécialisation.


    Une vie médiocre. Je trouve ça encore plus drôle qu'insultant, de la part d'un homme qui semble aussi désabusé par tout ce qu'il a entrepris. Un avocat. Va comprendre !


     Le garçon d'en face achève une chanson et se lance dans une autre, qu'il n'avait encore jamais jouée. J'ai appris à connaître son répertoire, dans la mesure où il le joue toujours dans le même ordre, soir après soir. Pourtant, cette chanson-là, je ne l'avais jamais entendue. À la façon dont il répète ses accords, j'ai plutôt l'impression qu'il est en train de la composer. Je suis contente d'assister à l'événement, d'autant qu'elle devient aussitôt ma préférée. J'ai l'impression qu'il est l'auteur de tout ce qu'il chante et je me demande s'il donne des concerts dans la région ou s'il ne fait ça qu'en pur amateur, pour le plaisir.


    Je me redresse, m'accoude au balcon afin de mieux le regarder. Il est assez loin pour que je me l'autorise, mais assez près pour qu'il faille m'assurer d'abord que Hunter ne soit pas dans les parages. Je ne suis pas certaine que mon copain apprécierait de me voir m'emballer ainsi devant les talents de ce garçon.


    Comment nier qu'il me plaît ? Quand on le voit mettre tant de passion dans sa musique, on ne peut que fondre. Il a une façon de fermer les yeux, de se concentrer si intensément sur chaque accord... j'aime surtout le voir croiser les jambes sur sa guitare pour la serrer bien droite contre sa poitrine et en jouer comme d'une contrebasse, sans jamais soulever les paupières. C'est tellement fascinant que, parfois, je me prends à retenir mon souffle, au point d'en oublier de respirer.


    Pour couronner le tout, il est beau mec. Du moins, c'est ce qu'il me semble, vu de mon balcon. Ses cheveux châtain clair se balancent au rythme de sa musique, lui retombant sur le front chaque fois qu'il regarde sa guitare. Il est trop loin pour que je distingue la couleur de ses yeux ou la forme de ses traits, mais ces détails sont sans importance, comparés à la passion qu'il met dans sa musique. Il semble avoir une totale confiance en lui. J'ai toujours admiré les artistes capables de se détacher complètement de ce qui les entoure pour ne plus se concentrer que sur leur ½uvre. J'aurais aimé pouvoir, moi aussi, m'enfermer à l'écart du monde pour me laisser emporter par ce que je fais, mais j'en suis incapable.


    Lui, si. Il croit en son talent. Je n'ai jamais su résister aux musiciens, du moins dans mes rêves. Ils sont d'une espèce différente. Une espèce pas vraiment adaptée si on se cherche un copain fidèle.


    Soudain, il me regarde, comme s'il avait capté mes pensées, et un sourire détend son visage. Tout cela sans arrêter de jouer. Ce contact me fait rougir, alors je me dépêche de reprendre mon cahier, l'air très affairée. Ça m'ennuie que ce garçon m'ait surprise à le dévisager si intensément ; même s'il n'y a rien de mal à ça. Quand je relève la tête, il ne m'a pas quittée des yeux, mais il ne sourit plus. Le c½ur battant, je me replonge dans mon cahier.


    – Tu étais là ? lance une voix aimable derrière moi.


    Je m'adosse à mon siège pour voir Hunter entrer sur le balcon, en faisant de mon mieux pour cacher ma gêne car je suis certaine qu'il m'avait avertie de son arrivée. Pour le cas où Johnny Guitar serait encore en train de me regarder, j'accueille mon mec avec ardeur, histoire de ne pas trop passer pour une sinistre voyeuse, mais juste pour quelqu'un qui se reposait sur son balcon. Je lui passe la main sur la nuque quand il penche la tête sur le dossier de mon transat pour m'embrasser.


    Mes yeux me trahissent quand la guitare s'arrête brusquement de jouer ; je ne peux m'empêcher de regarder dans sa direction alors qu'il se lève et file dans son appartement, l'air grave, presque furieux.


    – Tes cours se sont bien passés ? me demande Hunter.


    – Trop barbants pour qu'on en parle. Et toi ? C'était comment, le boulot ?


    – Intéressant, dit-il en me caressant les cheveux. Il m'embrasse dans la nuque.


    – Qu'est-ce qu'il y avait de si intéressant ? Il s'installe à côté de moi, pose le menton sur mon épaule.


    – Il s'est passé un drôle de truc au déjeuner, dit-il. J'étais à la terrasse du restau italien avec un collègue, et je venais de demander au serveur ce qu'il nous conseillait comme dessert, quand une voiture de police a surgi du carrefour. Ils se sont arrêtés juste devant nous et deux agents en sont sortis, l'arme à la main. Ils aboyaient des ordres dans notre direction quand le serveur a marmonné : « Merde ! », en levant lentement les mains. Les flics ont sauté sur lui, l'ont jeté à terre, lui ont passé les menottes. Après lui avoir énoncé ses droits, ils l'ont relevé et emmené. C'est là que le type s'est retourné vers moi en criant : « Le tiramisu est délicieux ! » Ensuite, ils l'ont jeté dans la voiture.


    – C'est vrai ? Ça s'est vraiment passé comme ça ? Hunter se met à rire.


    – Oui, je te jure, Syd. C'était dingue.


    – Et alors ? Tu as essayé le tiramisu ?


    – Oui, on en a pris tous les deux. C'est le meilleur que j'aie mangé de ma vie. Il m'embrasse sur la joue et se redresse.


    – Tiens, ça me donne faim de te raconter tout ça. Tu nous as préparé quelque chose à dîner ? Je lui tends la main pour qu'il m'aide à me lever.


    – On a de quoi faire une salade...


    Une fois à l'intérieur, Hunter s'assied sur le canapé à côté de Tori. Elle a ouvert un cahier sur ses genoux mais regarde plutôt la télé que son boulot. Je sors les boîtes du frigo pour préparer une salade. Je m'en veux un peu d'avoir oublié qu'Hunter venait ce soir. D'habitude, je lui sers un repas chaud.


    Voilà près de deux ans maintenant que nous sortons ensemble. Je l'ai rencontré lors de ma deuxième année de fac, alors qu'il passait sa licence. Avec Tori, ils se connaissaient depuis longtemps. Quand elle s'est installée dans ma résidence universitaire, nous sommes devenues amies et elle a tenu à me le présenter. Elle assurait que le courant passerait entre nous, elle ne croyait pas si bien dire. Nous sommes sortis ensemble au bout de deux rendez-vous et, depuis, tout se passe à merveille.


    Bien sûr, nous avons connu des hauts et des bas, surtout depuis qu'il a déménagé à plus d'une heure d'ici. Quand il a accepté ce poste dans un cabinet d'experts comptables il y a six mois, il m'a proposé de vivre avec lui, mais j'ai refusé, car je tenais à terminer ma licence avant de prendre une telle décision. À vrai dire, cette perspective me fait plutôt peur.


    J'aurais l'impression de prendre une décision trop définitive en m'installant sous le même toit, au point de ne plus pouvoir reculer. Je sais qu'une fois que nous aurons franchi le pas, il ne nous restera qu'à envisager le mariage ; ainsi, je n'aurai jamais eu la chance de vivre seule. J'ai toujours été en coloc et, tant que je ne pourrai me payer mon propre appartement, je partagerai le mien avec Tori. Je ne l'ai pas encore annoncé à Hunter, mais je tiens à vivre seule au moins un an. C'est une chose que je me suis promise, avant de me marier. Je vais juste fêter mes vingt-deux ans dans quinze jours, j'ai encore le temps de voir venir. J'apporte son repas à Hunter dans le salon.


    – Pourquoi tu regardes ça ? demande-t-il à Tori. Toutes ces bonnes femmes ne font que se raconter des conneries en passant d'une table à l'autre.


   – C'est exactement ce qui m'intéresse, rétorque-t-elle sans détacher ses yeux de l'écran. Hunter m'adresse un clin d'½il en prenant son plat, puis pose les pieds sur la table basse.


   – Merci, chérie, dit-il en se tournant lui aussi devant la télé. Tu peux m'apporter une bière ?


   Je repars à la cuisine, ouvre le frigo, cherche à l'étage où il range ses bouteilles préférées. Je me rends compte que je suis devant « son » étagère, et que c'est ainsi que les choses commencent. D'abord, il a son étagère dans le réfrigérateur. Ensuite, ce sera sa brosse à dents dans la salle de bains, un tiroir dans mon placard et, finalement, toutes ses affaires s'inséreront si bien parmi les miennes que je ne pourrai plus me retrouver seule.


   Je me passe les mains sur les bras comme si ça pouvait chasser la soudaine sensation de malaise qui m'envahit. J'ai l'impression que mon avenir commence à se dérouler devant mes yeux, et je ne suis pas certaine d'aimer ce que je vois. Suis-je prête pour cette vie ? Suis-je prête pour ce soit avec ce type à qui je prépare un dîner chaque soir quand il rentre du travail ? Suis-je prête à me fondre avec lui dans cette vie douillette ? À passer mes jours à enseigner tandis qu'il calculera les impôts de ses clients, puis à rentrer le soir pour préparer le dîner et à lui apporter ses bières pendant qu'il regardera la télé les pieds sur la table basse, en m'appelant « chérie », puis à le rejoindre au lit pour y faire l'amour vers vingt et une heures, pour ne pas être fatigués le lendemain, quand il faudra se relever, s'habiller et se préparer à retourner au boulot et tout recommencer et ainsi de suite ?


   – Allô Sydney , ici la Terre ! lance Hunter en claquant des doigts. Ma bière, s'il te plaît, chérie ?


  Je me dépêche de lui attraper une bouteille que je lui apporte avant de filer droit vers la salle de bains. J'ouvre la douche, mais je ne me mets pas dessous. J'ai plutôt envie de fermer la porte à clé et de me laisser tomber par terre. Bon, nous nous entendons bien. Il est gentil avec moi, et je sais qu'il m'aime. Seulement, je ne comprends pas pourquoi, chaque fois que j'imagine notre avenir ensemble, ça me laisse de glace.



Justin


   Maggie se penche et m'embrasse sur le front.


   – Il faut que j'y aille.


   Je suis à demi allongé, la tête et les épaules adossées à la tête de lit. Maggie s'assied sur mes genoux en me contemplant d'un air navré. Dommage que nous vivions désormais si loin l'un de l'autre, mais cela n'en rend nos retrouvailles que plus passionnantes. Je lui prends les mains pour qu'elle se taise, et l'attire vers moi, espérant la persuader de rester un peu.


   Elle secoue la tête en riant, m'embrasse brièvement et se redresse, prête à s'éloigner, quand je la retiens, la retourne, la plaque sur le lit. Je pointe un doigt sur sa poitrine.


   – Reste encore une nuit. Je lui dépose un baiser sur le bout du nez.


   – Je ne peux pas, j'ai un cours.


   Je lui attrape les poignets, les lui remonte au-dessus de la tête avant de poser mes lèvres sur les siennes. Je sais qu'elle ne restera pas. Elle n'a jamais manqué un cours de sa vie, sauf quand elle était trop malade pour bouger. Lui dégageant les poignets, je descends délicatement le long de ses bras et lui prends le visage entre les paumes, l'embrasse une dernière fois avant de la relâcher à regret.


   – Vas-y. Et fais attention sur la route. Appelle-moi quand tu arrives.


   Elle acquiesce, descend du lit et enfile son débardeur. Je la regarde récupérer ainsi les vêtements que je lui avais ôtés dans ma hâte.


   Après cinq années de relation, la plupart des couples sont installés ensemble. Mais la plupart des hommes ne tombent pas sur une Maggie, si farouchement indépendante que c'en est impressionnant. Cependant, quand on sait ce qu'elle a vécu, cela devient plus compréhensible. Depuis que je la connais, elle s'occupe de son grand-père. Avant ça, elle a passé le plus clair de son adolescence à l'aider à veiller sur sa grand-mère, qui est morte quand elle avait seize ans. Maintenant que son grand-père est dans une maison de retraite, elle peut enfin vivre seule et achever ses études ; autant j'aimerais la garder auprès de moi, autant je sais combien son stage compte pour elle. Alors, cette année, je la laisse repartir pour San Antonio tandis que j'habite ici, à Austin. Et il n'est pas question que je vive ailleurs que dans la capitale du Texas. À moins qu'elle ne me le propose, évidemment.


   – Dis à ton frère que je lui souhaite bonne chance, lance-t-elle sur le seuil, déjà prête à partir. Et toi, Justin, arrête de culpabiliser. Les musiciens ont des crises, comme les écrivains. Tu retrouveras ta muse. Je t'aime.


   – Moi aussi, je t'aime. Elle me sourit et s'éclipse.


   Moi, ça me fait grincer des dents, même si je sais bien qu'elle s'efforce de voir le bon côté des choses avec mon histoire de crise de la page blanche ; je ne peux pas m'empêcher de stresser. Je ne sais pas si c'est parce que l'avenir de Brennan dépend maintenant tellement de ces chansons ou si c'est parce que je suis complètement à sec, mais l'inspiration ne vient plus. Impossible d'écrire. Or, sans paroles sur lesquelles m'appuyer, j'ai du mal à composer. Mon téléphone vibre. Un SMS de Brennan qui vient appuyer là où ça fait mal. 


  BRENNAN : ÇA FAIT DES SEMAINES QUE J'ATTENDS. DIS-MOI QUE TU AS QUELQUE CHOSE.



  MOI : JE SUIS DESSUS. ÇA SE PASSE BIEN, LA TOURNÉE ?



  BRENNAN : OUI, MAIS RAPPELLE-MOI DE NE PAS LAISSER WARREN PLANIFIER AUTANT DE DATES LA PROCHAINE FOIS.



  MOI : C'EST POURTANT COMME ÇA QUE TU TE FAIS CONNAÎTRE.



  BRENNAN : QU'ON SE FAIT CONNAÎTRE TOUS LES DEUX. JE NE TE DIS PAS DE FAIRE COMME SI TU N'ÉTAIS PAS DE LA PARTIE.



  MOI : JE NE PEUX PAS ÊTRE DE LA PARTIE TANT QUE JE RESTE COINCÉ DEVANT MA PAGE BLANCHE.



  BRENNAN : TU DEVRAIS SORTIR PLUS SOUVENT. PROVOQUER UN DRAME INUTILE DANS TA VIE. ROMPRE AVEC MAGGIE POUR L 'AMOUR DE L 'ART. ELLE COMPRENDRA. LE CHAGRIN ENTRETIENT L 'INSPIRATION LYRIQUE. TU N'ÉCOUTES JAMAIS DE COUNTRY ?



  MOI : BONNE IDÉE. JE DIRAI À MAGGIE QUE ÇA VIENT DE TOI.



  BRENNAN : RIEN DE CE QUE TU POURRAS DIRE OU FAIRE NE POUSSERA JAMAIS MAGGIE À ME HAÏR. EMBRASSE-LA DE MA PART ET REMETS-TOI À L 'ÉCRITURE. NOS CARRIÈRES REPOSENT ENTIÈREMENT SUR TES ÉPAULES.




  MOI : ENFOIRÉ.



  BRENNAN : MONSIEUR SERAIT-IL EN COLÈRE ? PROFITES-EN POUR NOUS ÉCRIRE UNE CHANSON RAGEUSE SUR LA HAINE QUE TU PORTES À TON PETIT FRÈRE, ET ENVOIE-LA


   MOI. ;)



   MOI : C'EST ÇA. JE TE LA DONNERAI QUAND TU AURAS DÉBARRASSÉ TON ANCIENNE CHAMBRE DU BORDEL QUE TU Y AS LAISSÉ. LA S¼UR DE BRIDGETTE POURRAIT BIEN S'Y INSTALLER LE MOIS PROCHAIN.

 
   BRENNAN : TU CONNAIS BRANDI ?



  MOI : NON. POURQUOI ?



  BRENNAN : SI TU VEUX VIVRE AVEC DEUX BRIDGETTE...



   MOI : OH, MERDE !



   BRENNAN : EXACTEMENT. A+



  Je termine la conversation avec Brennan pour enchaîner avec Warren.



   MOI : ON EST BONS POUR CHERCHER D'AUTRES COLOCS. BRENNAN NE VEUT PAS ENTENDRE PARLER DE BRANDI. JE TE LAISSE L'ANNONCER À BRIDGETTE PUISQUE VOUS VOUS ENTENDEZ SI BIEN TOUS LES DEUX.



    WARREN : C'EST BON, ABRUTI.



  Je saute du lit en riant, puis me dirige vers les portes-fenêtres avec ma guitare. Il est presque vingt heures, elle sera sur son balcon. J'ignore ce qu'elle pense de mon attitude, mais je peux toujours essayer. Je n'ai rien à perdre.




Voilà le premier chapitre, j'espère qu'il vous plaira !! Je tiens à m'excuser pour ma longue absence j'ai été assez occupé avec ma prépa. Je pense pouvoir posté régulièrement, n'hésitez pas à me faire par de vos avis et critique. Merci =)

Sydney    J'ouvre la porte-fenêtre et sors sur mon balcon, contente que le soleil ait déjà plongé derrière l'immeuble d'en face. Du coup, il fait plus frais, un peu comme par une belle journée d'automne. Presque aussitôt, le son de la guitare s'élève à travers le parc et je m'assieds dans le transat. Je dis à Tori de venir faire ses devoirs ici, histoire de ne pas reconnaître que cet instrument est la seule raison qui me pousse à sortir tous les soirs à vingt...

Suite
​ 59 | 2 |
​
0
Commenter

#Posté le samedi 09 janvier 2016 11:35

Modifié le mardi 12 janvier 2016 06:52

  • Amis 0
  • Tweet
  • Commentaires
  • Kiffs
  • Remix

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.161.108.58) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

MaybeSomeday-retranscrip, Posté le dimanche 17 janvier 2016 18:25

Visiteur a écrit : "Vivement la suite, je suis impatiente haha"

Merci !! La suite arrive demain à 18h :)


Visiteur, Posté le dimanche 17 janvier 2016 17:43

Vivement la suite, je suis impatiente haha


RSS

Article précédent

Article suivant

Ses archives (28)

  •                                                             Prologue mar. 24 novembre 2015
  • Un résumé lun. 23 novembre 2015
  • lun. 23 novembre 2015
  • Chapitre 25 jeu. 21 avril 2016
  • Chapitre 24 sam. 16 avril 2016
  • Précédent
  • Suivant

Design by MaybeSomeday-retranscrip

Signaler un abus

Abonne-toi à mon blog !

RSS

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Aide
    • Signaler un abus
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
    • Yax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tito Street
    • Tasanté
    • kwest
    • Zipalo
    • oMIXo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile